La grande aventure Matos - Matos Surf Shop

MATOS

L'histoire du shop - La grande aventure Matos

L'histoire de Matos

Bonjour, je m'appelle Isabelle Adam, j'ai 54 ans, je suis la gérante de Matos Surf & Kite shop à Bruxelles, situé chaussée de Ninove (le magasin de surf en Belgique). L'histoire de Matos, c'est très simple : on était des passionnés de windsurf à l'époque qui était la planche à voile. Je pratiquais, j'avais commencé à 14 ans, donc j'étais à l'université pour faire des études de dentiste, donc absolument rien à voir avec le kite. Et puis, Olivier travaillait déjà un peu dans un magasin qui était dans la région de La Louvière.


Puis, on s'est rencontrés en vacances. Et notre histoire a commencé et c'est vrai qu'à l'époque, le magasin de La Louvière avait dit qu'on allait ouvrir une antenne à Bruxelles. Il nous l'a proposé et on s'est dit bien pourquoi pas? Et donc, on s'est lancé dans l'aventure et on est arrivé à Bruxelles en 1987 et on a commencé le magasin Matos, qui était juste situé 100 mètres plus haut. Notre patron, Eddy, avait décidé à ce moment-là de nous remettre le commerce.


Donc, tout s'est fait en une fois : les travaux, l'installation, c'était grandiose. On a déménagé avec tous les copains et clients en faisant la chenille vu que c'était vraiment juste 50 mètres plus haut. C'est vrai que l’évolution qu’on a rencontré chez Matos et à laquelle on ne s'attendait pas du tout d’ailleurs, c'est qu'on a commencé avec le windsurf, qui était la discipline phare en 1987 et qui était la seule discipline que l'on vendait. On a même commencé le snowboard mais on s'est vite arrêté parce qu'on a compris que ce n'était pas possible de faire les deux.


Et puis, en fait, les autres disciplines sont venues se rajouter au fur et à mesure de notre parcours. Le kitesurf est arrivé en 1999 et ça, c'est vrai que si on ne s'était pas mis au kitesurf, on ne serait peut-être plus là aujourd'hui parce que le windsurf a beaucoup perdu à cause du kitesurf. Ça existe toujours la planche à voile, mais malgré tout, le kitesurf a pris beaucoup de parts de marché. Et puis après, le wake est arrivé et puis en fait le wake avant c'était derrière un bateau.


Mais après, on a ouvert des cable parcs en Belgique. Il y en a quand même six ou sept. Maintenant, quand on a lancé ça aussi dans le magasin, c'était, je pense, en 2010 le wake. Et alors là, tout récemment, est arrivé le wing surf. Et ça a été une belle surprise parce qu'en fait, nous, on n'y croyait pas trop parce que c'est un sport coûteux. Puis, avec le covid, on ne sait pas ce qui s'est passé.


Les gens ont voulu faire du wing et maintenant tout le monde veut faire du wing surf. C'est en fait une planche qui est plus petite qu'une planche à voile, avec un foil en dessous et dans les mains. On a une aile qui n'est pas une aile avec des lignes comme le kite surf, qui est simplement un genre de deux demi-voiles que l'on tient au bout des bras. Et en fait, cette discipline vient de commencer. C'est assez surprenant. On a vraiment tous types de clients : hommes, femmes, de tous les âges.


Ça peut être des clients très jeunes, genre 10 ans, qui viennent avec leurs parents, bien sûr, mais ça peut être aussi des personnes de septante deux ans qui font encore de la planche à voile, de toute la Belgique aussi, et même parfois de l'étranger. Donc oui, c'est vraiment une clientèle variée : les indépendants, les métiers de la santé aussi. Je ne sais pas, ils font peut-être plus de sport que les autres, mais on a énormément de clients dans ces milieux-là.


Je pense maintenant qu’on est les plus anciens qui restent sur le marché, mais je pense qu'on se différencie parce qu'on est toujours resté les mêmes patrons. On n'a pas de personnel à part un étudiant, la bonne saison et on essaye de donner un service maximum et même parfois beaucoup de services. C'est ce qui a fait peut-être notre renommée, c'est beaucoup de service après-vente en fait : au niveau des garanties, du conseil client aussi, vu qu'on est souvent à l'eau et qu'on connaît bien ce qu'on vend.


C'est vrai qu'on essaye d'être vraiment de très bon conseil pour les clients. Ce qu'il n'y a pas sur Internet, par exemple, c'est notre force. Je pense que c'est notre force en tant que magasin.

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